C’est en suivant les traces de ses parents que Murat est entré à l'institut médical. Depuis, il ne compte plus le nombre de vies qu’il a sauvées. Cependant, du temps de la perestroïka, Murat préféra s’exercer au business plutôt qu’à la chirurgie. Et sans le docteur Nazaraliev, avec qui il avait étudié à la faculté de médecine, Murat aurait délaissé définitivement sa carrière du médecin. Le docteur, c’était il y a déjà 19 ans, a en effet persuadé Murat de retourner à la profession en lui offrant une place dans sa clinique.
Maintenant, grâce à son expertise de la désintoxication phylogénétique, il aide les patients à améliorer leur métabolisme, en soignant leurs organes généralement épuisés et obstrués par l'utilisation de drogues et de médicaments.
Il soutient aussi l'état psychologique des patients en leur communicant son optimisme. Amateur de parabole et d’anecdotes, sa maxime favorite est: «Le travail est le meilleur remède pour toutes les maladies et souffrances de l'humanité». En bref, il fait partie des chanceux à qui le travail apporte joies et plaisirs.
Des grands de ce monde, c’est Confucius et Sigmund Freud qu’il choisirait pour parler et rêver ensemble de l'essence de la vie.
