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Il voulait faire mieux, et il a réussi comme d’habitude. C’est comme ça qu’on peut décrire ce qui est arrivé récemment à l’Italien, et ce qui est devenu le sujet central du 7ème épisode. D’un autre côté, il a enfin réussi à attirer à sa personne l’attention souhaitée. Quoi que maintenant le participant soutien sincèrement que ce n’est pas pour se montrer en héro devant tout le monde qu’il a apporté quelques grammes de hachich à son père.

«Mon but c’était de prouver au médecin, et surtout à mon père, que je suis venu ici consciemment, pour me soigner, et non pas pour me montrer, comme tout le monde l’a cru. C’était important pour moi de faire comprendre qu’après 15 ans d’utilisation de la drogue, je suis vraiment capable de m’en passer», partage l’Italien.

Selon lui, son père l’a compris. Les opinions des autres étaient partagées. Et même si au début certains participants ont réagis à cet incident sans beaucoup d’émotions, le fait, que tous soient obligés de se soumettre à des analyses  à cause de l’acte de l’Italien, a provoqué une tempête. Et après la discussion avec le metteur en scène de la télé-réalité Andrey Erchov, tout le monde lui a tourné le dos. Mais l’Italien continue à maintenir ses déclarations.

«Au début les copains ont réagi normalement, et puis il y a eu de la pression. Mais que peuvent-ils dire, si on les provoque un peu, ils on commencé à critiquer aussi. Mais nous nous entendons bien quand même. L’essentiel, c’est que j’ai réussi à convaincre mon père que je changerai. Les autres, ils feront un peu de bruit et ils oublieront, mais lui, il a compris», a dit l’Italien.

Néanmoins, l’Italien n’a confié à personne où il a pris la drogue. Il continue à plaisanter: «Un grand nègre couvert de cicatrices s’est approché de moi. Il a voulu me provoquer, mais ça n’a pas marché. Il a peut-être vu en moi une âme sœur et a décidé de faire un geste d’attention envers moi».

Si on en juge selon les réponses de l’Italien, il y a tout de même une certaine théâtralité dans son comportement. Il est possible, que ce soit pour cette raison que personne ne lui croit. Les analyses n’ont pas démontré la présence de la drogue dans les organismes. Mais la participation de l’Italien au projet et maintenant menacée. Il est tout à fait possible que les autres participants continuent leur traitement à la clinique de professeur Nazaraliev sans lui.