Profession – logger

03.12.2012, 17:25

Ils savent plus que les autres sur les participants de la télé-réalité. Ce n’est pas étonnant, car les loggers du projet écoutaient les héros «Docteur Life» 24 sur 24. Et ce pendant un mois et demi. En fixant toutes les discussions des patients avec des médecins et des accompagnants, ils transmettaient les moments mes plus intéressants au modérateur du projet.

«Beaucoup de participants parlaient en jargon, alors c’était un peu difficile de les écouter. J’ai appris beaucoup d’expressions propres aux toxicomanes. Les plus difficiles à comprendre étaient Anatoly, Ekaterina et Andrey, ils ont un lexique spécial, c’est clair», dit logger Jamila.

«Les tous premiers jours sur le projet les participants essayaient parfois de fermer leurs micros».

Il arrivait aussi que toute l’équipe était obligée à se mettre à déchiffrer la signification des paroles dites par les participants. Ils se relayaient toutes les 12 heures. À tout moment il pouvait se passer quelque chose de très important. Tous les dialogues les plus marquants et les plus significatifs ont étaient sans aucun doute inclus dans les épisodes. Toutefois, il arrivait que certains détails passaient inaperçus.

«Un jour l’Italien racontait à Victor que plus d’une fois déjà il avait utilisé devant les flics l’histoire qu’il a eu la drogue d’un grand nègre avec des cicatrices. Plus tard, quand à la clinique on lui a demandé où il a pris le cannabis, il a donné la même réponse», a confié logger Ekaterina.

Les tous premiers jours sur le projet les participants essayaient parfois de fermer les micros. Dans ces moments-là les ingénieurs du son couraient aussitôt les voir. Selon le contrat, les patients n’avaient pas le droit d’empêcher le tournage. Après des avertissements isolés, il n’y a pas eu d’autres infractions de ce genre.

«Les loggers n’ont pas eu la vie facile non plus. Ils étaient obligés de tout écouter: les bruits pendants que les participants mangeaient, les ronflements, les jurons».

«Au départ ils étaient un peu mal à l’aise. La maman d’Alex a même dit qu’ils se sentaient comme des singes au zoo!», a confié Jamila.

Les loggers n’ont pas eu la vie facile non plus. Ils étaient obligés de tout écouter: les bruits pendants que les participants en mangeant, les ronflements, les jurons des participants. Il y a eu aussi des anecdotes.

«Une fois j’écoutais la discussion d’Anatoly et de l’Italien. Ils disaient des trucs du genre: «levé des slaves, baissé les noirs, a pris une put! Et puis des mots impossibles à comprendre. Je n’ai pas compris aussitôt qu’est-ce qui se passait chez eux, et quand j’ai regardé la caméra, ils étaient en train de jouer aux cartes!», raconte Ekaterina.

À chaque fois en apprenant de plus en plus sur les participants, les loggers, comme les autres membres de l’équipe, se sont attachés à chacun d’eux. En donnant toute leur énergie au travail sur le projet «Doctor Life», ils ont sans  aucun doute fait leur contribution au retour unique des participants à une vie saine et libre de drogue. Grâce à eux des milliers des téléspectateurs pourrons voir la chronique honnête et sans compromis de la libération de dépendance narcotique.

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Commentaires:

  • Arthur   05.12.2012, 14:20
    Elles sont très belle ces jeunes filles.
  • Pierre   04.12.2012, 07:19
    Je savais pas qu'il existe telle profession
  • Claire   03.12.2012, 18:18
    Oui, c'est difficile à comprendre l'argot des prisonniers

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