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Denis Potoski, dirécteur de la Ligue mondiale «Esprit libre de drogues»

«Le moment où l’Italien fait un scandale à son père à cause d’un snickers à 30 roubles est tout simplement inoubliable. La situation est très drôle. Drôle d’un côté, et en même temps très triste. Le rire à travers les larmes, comme ça arrive souvent dans notre vie.

Le labyrinthe m’a laissé une impression très forte, par entourage extérieur ainsi que par ce qui s’y passait avec des participants. Pendant la construction ils ont failli tous se disputer entre eux, avec de gros jurons, ça a failli se terminer par une bagarre. Mais finalement la fin a été très positive.

Renata Bichurina, Coordinateur de Département international PR

«Les 16me et 17me épisodes m’ont marqué. C’est le Mindcrafting. Professeur a eu vraiment raison d’envoyer Gleb faire le pèlerinage. Il avait besoin d’être préparé à la vie. Malgré le fait qu’il n’a pas été jusqu’au bout, c’était une près bonne épreuve pour lui».

Venera Bolotova, Responsable du Département de chinois

«Je me souviens surtout de Mindcrafting. Je crois que c’est la méthode de traitement de la toxicomanie la plus inhabituelle. Je soutenais Krochanov et Gleb».

Yulia Golovacheva, Responsable du Département de russe

«La provocation de l’Italien quand il a apporté du haschisch. Gleb m’a marqué. On voit que cette personne se rend compte de son charme et l’utilise. Peut-être même manipule les gens. C’est justement par ça qu’il est intéressant. Le moment où ils étaient dans le sauna avec le psychologue, tous barbouillés, des différents exercices drôles. Ils étaient comme des gens normaux, on ne dirait même pas que ce sont des toxicomanes».

Ekaterina Belinchenko, Responsable du Département d`anglais

«Le coma dans les premiers épisodes, évidemment! Il y avait des moments intéressants avec des hallucinations. C’est un peu drôle dans son genre. «Qu’est-ce que c’est? Le coussin avec de l’héroïne». J’ai trouvé des derniers épisodes les plus réussis et captivants. Plus de mouvement, plus d’action!»

Jenichbek Karagulov, Responsable fundraising

«Un moment émotionnellement fort c’est quand un nègre noire avec des cicatrices a offert à l’Italien de la drogue et quand ensuite Malleker lui dit qu’à sa place il aurait ramassé ses affaires et serait parti. Et Anatoly dit qu’en prison on lui aurait demandait des comptes pour ça. C’est très fort émotionnellement. Les gens ont montré leur vraie nature. Il n’y avait pas de jeu pour la caméra. J’ai détesté l’Italien, son attitude envers son père. Krochanov est très gentil, on lui sympathise».

Viktoria Popova, Responsable PR 

«C’est de 2me épisode qui m’a marqué. Les premiers blocages, leur état après, comment ils ne tenaient pas debout, rampaient après. Je n’avais jamais vu ça avant. J’ai regardé avec plaisir. Après je me souviens aussi comment professeur Nazaraliev écrabouillait Alex sur l’assiette. C’était des moment émotionnels que je me rappelle».
 

Nurgazy Ismanov, Traducteur du Département de japonais

«Les comas sont impossibles à oublier. On avait pitié d’eux, mais d’un autre côté il fallait passer par là, il n’y avait pas d’autre solution pour les soigner. Il fallait faire une piqûre qui fait mal pour les guérir. Je me souviens de la première étape, et du Mindcrafting aussi. Là, on se concentre vraiement sur son monde intérieur. Et c’est une méthode de traitement unique qui n’a pas d’analogues. C’est une marque de Kirghizstan. Nous avons chez nous toutes les conditions et spécialistes nécessaires».

Aigul Adjieva, Journaliste du projet «Doctor Life»

«Honnêtement, j’ai regardé tous les 19 épisodes sans pouvoir détourner le regard de l’écran. Par contre les bons souvenirs restent des épisodes où les participants rient et réjouissent de la vie. Ce sont les exercices avec la psychologue Anguélina, drift, la thérapie de bous à Issyk-Koul. Il était agréable d’observer comment ils reviennent à la vie normale, plaisantent et font des projets pour l’avenir. J’ai envie de voir comment se passe leur réhabilitation».

Mikhail Pakhomov, Journaliste du Département de russe

«Moi, par exemple, je me souviens des moments où ils hallucinaient. Le comportement après le coma reflète un peu la personnalité. Ce sont des moments où on voit vraiment que ce sont des personnes malades».

Nurzat Abykeeva, Responsable PR du Département d`arabe

«J’ai aimé les épisodes sur le Mindcrafting. La nature était très bien montrée, et dans un si joli cadre on nous a montré le traitement des toxicomanes. J’ai aimé ce mariage. Et aussi comment les participants sortaient de coma, c’était quelque chose de nouveau pour moi».
 

Alexander Loktionov, Responsable PR du Département de russe  

«Je ne sais pas pourquoi, je me suis souvenu du moment où les participants sont en réunion à propos de l’acte de l’Italien. Il y avait aussi de régisseur. Et Anatoly,  grand et terrible, sermonnait l’Italien bien comme il faut. Il s’est vraiment révélé. C’était une situation drôle. Ou encore la construction du labyrinthe. C’est intéressant d’observer les gens quand ils font tomber leurs masques».

Ayperi Alymbekova, Responsable PR du Département d`anglais

«Drift! Sans aucun doute ! De très belles images avec le coucher de soleil en arrière-plan, presque Hollywood! Et bien sûr, la PSE. Les derniers épisodes étaient très intéressants, aussi bien en contenu que du point de vue de la réalisation technique. Globalement, le projet est très, très marquant et vraiment sans précédents. Je supportais Krochanov, et il s’est montré digne en allant jusqu’au bout!»

Bakyt Moldonaliev, Responsable SMM du Département de français

«Les moments exotiques comme la danse des derviches dans Mindcrafting. C’était terrifiant de voir les blocages. Globalement, j’ai tout aimé. J’aurai porté un accent sur Victor et Andrey. Andrey était carrément en train de pourrir au départ, et pendant le traitement il a beaucoup changé. Le résultat est évident».

Darya Stepanova, Content manager

«Mindcrafting. C’est l’image retient l’attention. Je n’ai pas trop aimé le quotidien au milieu, sa rappelle «Dom-2», ce regard dans le trou de la serrure. J’ai aimé le drift, le sujet sortait du cadre du programme. Je me souviens de l’envie d’Andrey de guérir, comment il souffrait le premier jour, comment c’était dur pour lui physiquement. Ça manquait de la réflexion des patients. Non pas ce qu’ils se disaient entre eux, mais justement de la discussion avec eux-mêmes. Je me souviens des phrases de Victor Malleker: «Je croquerai le sapin avec mes dents! J’irais à pied jusqu’en Allemagne s’il le faut!», «Sur le chtress»».

Arstanbek uulu Sagyntay, Responsable SMM du Département d`espagnol

«Je n’ai jamais vu avant comment on soignait les toxicomanes. Ca faisait plaisir de voir que le traitement les aide bien. Les épisodes à la clinique étaient un peu ennuyeux. Et à Issyk-Koul quand ils faisaient du yoga, c’était déjà beaucoup plus intéressant de regarder».

Maria Maltseva, Responsable SMM du Département de russe

«J’ai l’impression que les moments dont on se souvient le plus ce sont des moments les plus scandaleux. Quand l’Italien a apporté du cannabis. Son expression «nègre avec plein de cicatrices», ou encore celle de Malleker «Je suis tout sur le chtress» sont même devenus nos blagues du bureau. Les disputes et les scandales, en fait, ont marqué. L’Italien m’agaçait. Les derniers épisodes sont superbes. Les premiers sont pas terribles, ennuyeux».

Natalia Fabritsius, Traductrice du Département de français

«Aussi Mindcrafting. Il y avait beaucoup de choses à apprendre. Les techniques de respiration, tout le monde peut les utiliser dans la vie. Aussi je me souviens du téléphone cassé, certains moments rigolos. Ce sera intéressant de voir comment se passe le PSE».

Elena Babechkova, Елена Бабешкова, Responsable SMM du Département d`anglais

«Les courses. Quand Gleb faisait les courses de voiture, et les autres les courses âsines. C’était super. C’est le moment le plus intéressant. La première étape était trop longue. C’était incroyablement long et ennuyeux. Le passage du labyrinthe m’a fait penser à l’initiation des maçons. J’ai bien aimé Malleker, il est vivant, les autres sont un peu lents».

Alexandra Revina, Responsable PR du Département d`anglais

«Je me souviens du moment, où on fait des pansements à Andrey Krochanov, lui désinfecte les pieds. Et il remercie les médecins. Je lui compatie».

Anna Slacheva, Responsable PR du Département de russe 

«Moi, j’ai le plus aimé et retenu le système de Mindcrafting. Comment étaient montrés tous ces épisodes-là, et des moments comme le son de la cloche. Il créait l’ambiance nécessaire. On réalisait que cet épisode parle de ces personnes-là, mais d’un autre point de vue. Comment ils voient ce traitement. Et se transforment progressivement. Une dame que je connais a même commencé à utiliser la forme sonore AUM dans son travail. J’ai remarqué en Andrey la dynamique d’amélioration».