Professeur Nazaraliev a inspiré un personnage du livre sur une nouvelle arme secrète
Un personnage sans nom, auteur d’une nouvelle technologie de stockage d’information, Docteur. L’auteur du livre, une ukrainienne Alena Sibiriakova est sûre que son rôle est déterminant même s’il apparaît devant le lecteur pendant un instant seulement.
Le livre «Ukraine. Point G» qui parle d’un moyen de gagner un million, remporter les élections politiques, mais aussi de ce que veulent vraiment les représentants d’une profession inexistante, a paru cette année en Ukraine. Son auteure est une technologue politique de Kiev ayant 14 ans d’expérience. Le sujet de l’œuvre littéraire tourne autour de la lutte internationale pour une nouvelle arme secrète, une technologie internet alternative «clé USB G», qui est en train d’être testée en Ukraine. Le personnage principal est une femme consultante, professionnelle du monde politique appartenant entièrement aux hommes. Le livre montre comment on peut atteindre des hauteurs du professionnalisme dans son travail en restant humain, et surtout, en restant une femme.
Docteur qui est justement inspiré par le professeur toxicologue kirghizstanais Jenichbek Nazaraliev, apparait tout au début de la narration.
«Pour moi il est avant tout un personnage déterminant qui par son activité essaye d’influencer des processus politiques et autres, qui ont lieu en réalité. C’est par cela qu’il est intéressant». |
«Docteur a un rôle important, on peut dire déterminant dans le sujet du livre», explique Alena Sibiriakova. «Docteur participait dans la mise au point de la secrète G-technologie et conserve chez lui une source, le fleuve de la Vie. Les puissances mondiales commencent la chasse à l’arme secrète, qui s’appuie sur l’enregistrement des ondes du cerveau des donneurs sur une clé G. Au début du livre il donne la clé G à l’héroïne en disant: «Conserve là chez toi, c’est l’Avenir». C’est le professeur Nazaraliev qui a inspiré le personnage du Docteur. «Pour moi il est avant tout un personnage déterminant qui par son activité essaye d’influencer des processus politiques et autres, qui ont lieu en réalité. C’est par cela qu’il est intéressant».
La technologue politique ukrainienne a fait connaissance de Jenichbeck Nazaraliev il y a quelques années, en 2007 à Issyk-Koul où professeur faisait la démonstration de son programme «Le septième ciel», le complexe de sept techniques psychologiques créé sur la base des pratiques spirituelles de l’Est et de l’Ouest, plus tard appelée Mindcrafting.
«Nazaraliev venait juste de préparer le programme Mindcrafting et il m’a proposé d’essayer quelques-unes de ces techniques», se souvient Alena Sibiriakova. «Après avoir reçu une première expérience de ce programme, j’ai adhéré à l’idée et conseillé de le faire à mon fils Arsène et à une autre personne proche, mon amie. Arseny avait alors 14 ans et je peux dire que les effets positifs du programme se voyaient dès son retour à la maison. Il raisonnait mieux, l’agressivité d’adolescence est partie, les notes à l’école sont devenu meilleures aussi».
«Les milliers d’aiguilles se sont enfoncées dans mon corps tellement fort que je ne le sentais plus de tout. Et puis j’ai vu Celui qui sourit toujours. Et la rivure est sortie de ma tête». |
Sibiriakova a consacré un chapitre entier de bestseller ukrainien à ses impressions de la rencontre réelle de Jenichbek Nazaraliev. Elle a décrit en détailles ses sensations après une des étapes de Mincrafting: «… quand Docteur a dit de fermer les yeux et respirer de manière rythmique, j’ai commencé d’inspirer et d’expirer, en accélérant le rythme sur sa commande. Et très bientôt je respirais avec une telle ardeur et une telle inspiration que mes oreilles ont failli tomber; c’est d’abord elles que ne sentais plus, puis les bras, les jambes. Les milliers d’aiguilles se sont enfoncées dans mon corps tellement fort que je ne le sentais plus de tout. Et puis j’ai vu Celui qui sourit toujours. Et la rivure est sortie de ma tête».
Après l’expérience reçue à Issyk-Koul Alena Sibiriakova continuait à pratiquer activement les techniques de Mindcrafting durant une année; comme elle explique, cela lui a aidé de résister au stress, inévitable dans le travail de technologue politique. Maintenant l’habitante de Kiev est persuadée, il faut faire connaître le programme Mindcrafting auprès de plus de gens possible: «En ce moment je réfléchie à une possibilité de présenter le programme en Ukraine. Je pense que beaucoup de personnes, adultes et enfants, ont besoin de connaitre le système du professeur. Je ne parle pas de ceux à qui Nazaraliev aide de combattre la dépendance d’alcool ou de la drogue, mais des gens en bonne santé».
Commentaires:
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Romain 05.12.2012, 15:15
Moi aussi je trouve que le Mindcrafting sera utile non seulement pour les malades mais les hommes sains aussi236 167 -
Irène 05.12.2012, 15:11
Et vous pratiquez jusqu'au aujpourd'hui les techniques de Mindcrafting? -
Marina 05.12.2012, 10:05
Ce livre est déjà traduit en français ou non?